Le site gassattack.com http://www.gassattack.com Wed, 10 Sep 2025 13:14:00 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 http://www.gassattack.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-logo-sport-32x32.png Le site gassattack.com http://www.gassattack.com 32 32 Comment bien choisir ses lunettes de vélo : guide complet pour éviter les erreurs http://www.gassattack.com/comment-bien-choisir-ses-lunettes-de-velo-guide-complet-pour-eviter-les-erreurs/ http://www.gassattack.com/comment-bien-choisir-ses-lunettes-de-velo-guide-complet-pour-eviter-les-erreurs/#respond Wed, 10 Sep 2025 12:22:22 +0000 http://www.gassattack.com/comment-bien-choisir-ses-lunettes-de-velo-guide-complet-pour-eviter-les-erreurs/ On ne va pas se mentir : rouler sans bonnes lunettes de vélo, c’est un peu comme partir en montagne en tongs. Tu peux toujours le faire, mais tu vas vite regretter. Entre le vent, les moustiques qui foncent droit dans tes yeux à 35 km/h, et le soleil qui t’éblouit pile dans une descente, c’est franchement pas agréable. Et encore, je ne parle même pas des graviers ou de la poussière qui te flinguent la rétine au premier chemin caillouteux.

Alors, comment choisir les bonnes lunettes, celles qui vont te protéger et en même temps être confortables pour les longues sorties ? J’ai pas mal galéré au début (j’ai acheté une paire trop serrée, je finissais avec la marque sur le nez après deux heures…). Si toi aussi tu veux éviter les erreurs, je te conseille d’aller jeter un œil à https://lunette-velo.fr, ils ont un bon choix et des explications claires qui m’ont aidé à piger les différences entre les modèles.

1. La protection avant tout

Le rôle numéro un d’une paire de lunettes de vélo, c’est de protéger tes yeux. Les UV, c’est pas juste une histoire de confort, c’est une vraie question de santé. Vérifie que tes lunettes filtrent à 100 % les UVA et UVB. Ne te fais pas avoir par le look ou la couleur des verres : une teinte foncée n’a rien à voir avec la protection réelle. Franchement, c’est le genre de détail que beaucoup négligent, et c’est une erreur.

2. Le confort : un détail qui change tout

Tu as déjà roulé 3 heures avec des lunettes qui glissent à chaque bosse ? Perso, ça m’a rendu dingue. Le confort, ça se joue sur plusieurs points : le poids (idéalement en dessous de 30 g, tu sens à peine que tu les portes), le grip sur les branches et le nez, et l’aération. Si ça appuie trop ou si ça glisse, tu vas passer ton temps à les remettre en place. Et là, au lieu de profiter de ta sortie, tu passes ton temps à râler.

3. La teinte des verres selon ta pratique

C’est un sujet que beaucoup zappent… mais qui change tout. Verres photochromiques pour ceux qui roulent tôt le matin ou tard le soir (ils s’adaptent à la luminosité, super pratique en forêt ou sur route). Verres polarisés si tu fais beaucoup de route en plein soleil, parce qu’ils réduisent l’éblouissement. Et si tu roules surtout en VTT, les verres clairs ou légèrement teintés sont top, parce que tu passes ton temps à l’ombre des arbres. Bref, adapte les verres à ton terrain de jeu.

4. Solidité et champ de vision

Un détail auquel tu penses pas forcément : la résistance. Entre les branches qui se coincent dans le casque, les chutes (oui, ça arrive à tout le monde) et les nettoyages un peu bourrins, tes lunettes doivent tenir le choc. Et puis surtout, vérifie le champ de vision. Des lunettes trop petites ou mal pensées, ça te fait un cadre noir dans le coin de l’œil… franchement désagréable quand tu surveilles le trafic ou que tu prends un virage serré en descente.

5. Le style… mais pas au détriment du reste

On va pas faire semblant : le look compte aussi. Tu vois bien quand un cycliste a une paire qui lui donne la classe… ou au contraire des lunettes qui jurent avec tout le reste. Mais attention à pas tomber dans le piège inverse : prendre une paire uniquement parce qu’elle est stylée et oublier tout le côté technique. Le bon équilibre, c’est une paire qui te plaît ET qui fait le job sur le terrain.

Conclusion

Choisir ses lunettes de vélo, c’est pas juste une question de style ou de budget. C’est un vrai choix de confort et de sécurité. Mets la protection UV et l’adaptation à ta pratique en priorité, teste le confort, et seulement après regarde le design. Crois-moi, tes yeux te diront merci après ta prochaine sortie de 100 bornes en plein soleil.

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Randonnée ou trail : quel sport choisir selon ton niveau et tes objectifs ? http://www.gassattack.com/randonnee-ou-trail-quel-sport-choisir-selon-ton-niveau-et-tes-objectifs/ http://www.gassattack.com/randonnee-ou-trail-quel-sport-choisir-selon-ton-niveau-et-tes-objectifs/#respond Wed, 10 Sep 2025 09:09:30 +0000 http://www.gassattack.com/randonnee-ou-trail-quel-sport-choisir-selon-ton-niveau-et-tes-objectifs/ Tu hésites entre te lancer dans la randonnée tranquille ou tester le trail plus intense ? Pas étonnant. Les deux activités ont de quoi séduire : la nature, le souffle coupé (au sens propre et figuré), et ce petit goût d’aventure qui donne envie de repartir dès qu’on rentre. Mais franchement, ça n’a pas grand-chose à voir dans la pratique. Alors, on fait le tri ?

Avant de te décider, demande-toi surtout ce que tu recherches. Tu veux décompresser, admirer les paysages, prendre ton temps ? La randonnée est parfaite pour ça. Tu veux transpirer, te challenger, sentir ton cœur s’emballer sur un sentier escarpé ? Le trail coche toutes les cases. Et si tu cherches des idées de spots pour tester les deux, je t’invite à jeter un œil à https://loisirsnature36.com : pas mal de bons plans et d’infos pratiques pour sortir en pleine nature.

La randonnée : accessible, zen et adaptable

Perso, j’associe toujours la randonnée à la liberté totale. Pas besoin d’un cardio d’athlète : une bonne paire de chaussures, un sac léger, et tu pars. Tu peux marcher une heure comme tu peux partir sur deux jours avec un bivouac. C’est modulable, c’est progressif, et c’est ce qui fait son charme. Tu choisis ton rythme, tu t’arrêtes pour admirer une cascade, tu prends une photo, tu piques une clémentine sur un rocher…

Physiquement, c’est moins violent que le trail. Mais attention, ça reste du sport ! Sur un dénivelé de 600 mètres, même les plus costauds finissent par souffler. Et côté calories brûlées, on parle facilement de 300 à 500 kcal par heure. Donc oui, c’est doux… mais pas si reposant que ça.

Le trail : explosif, exigeant et addictif

Le trail, c’est une autre ambiance. Là, on court. Pas tout le temps (les montées trop raides se marchent souvent), mais l’idée est d’avancer vite. Et dès que la descente s’amorce, tu te laisses glisser avec une vitesse qui donne la banane. Le problème ? C’est exigeant. Il faut de bonnes jambes, des poumons solides et surtout une vraie attention à l’entraînement pour éviter les blessures.

Ce que j’aime dans le trail, c’est la sensation de puissance quand tu avales un single track en forêt. Le souffle court, les jambes qui brûlent, mais tu continues. Et quand tu arrives en haut et que tu vois le panorama… clairement, ça vaut chaque goutte de sueur. Mais soyons honnêtes : si tu n’as pas l’habitude de courir, ça risque d’être un mur au départ.

Alors, tu choisis quoi ?

Si tu débutes totalement dans les sports outdoor, commence par la randonnée. Tu vas découvrir ton corps, ton endurance, et tu apprendras à gérer un sac, une montée, la fatigue. Quand tu sentiras que tu veux plus d’intensité, que marcher ne suffit plus, tu pourras basculer vers le trail petit à petit. Beaucoup de trailers ont d’ailleurs commencé par la rando avant de prendre goût à la vitesse.

Au final, ce n’est pas vraiment “randonnée ou trail”, c’est plutôt “randonnée puis trail” pour beaucoup de monde. À toi de voir selon ton envie du moment : besoin de te vider la tête tranquille, ou envie de mettre le turbo. Alors, tu pars marcher ou courir ce week-end ?

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Comment bien choisir ses chaussures de trail pour éviter les blessures http://www.gassattack.com/comment-bien-choisir-ses-chaussures-de-trail-pour-eviter-les-blessures/ http://www.gassattack.com/comment-bien-choisir-ses-chaussures-de-trail-pour-eviter-les-blessures/#respond Wed, 10 Sep 2025 07:23:01 +0000 http://www.gassattack.com/comment-bien-choisir-ses-chaussures-de-trail-pour-eviter-les-blessures/ Courir en pleine nature, ça a quelque chose de grisant. Mais soyons clairs : si tu pars sur les sentiers avec de mauvaises chaussures de trail, tu vas droit dans le mur (ou plutôt dans l’entorse, les ampoules, les genoux en vrac). Alors, comment faire pour choisir la bonne paire et éviter de finir cloué au canapé ? On décortique ça ensemble.

Perso, j’ai longtemps couru avec des chaussures « à peu près adaptées ». Résultat : un jour de pluie dans le massif du Vercors, glissade, cheville tordue… et trois semaines d’arrêt. Depuis, je ne choisis plus mes pompes au hasard. Si tu veux aller plus loin dans le choix de ton matos, tu peux d’ailleurs jeter un œil à https://www.lesport-fr.com, c’est une vraie mine d’infos sportives.

1. Le terrain avant tout

Le trail, ce n’est pas de l’asphalte. Si tu cours en montagne, tu n’as pas les mêmes besoins que sur des chemins forestiers plats. Sur du technique (pierres, racines, pentes raides), il faut une semelle cramponnée et accrocheuse. En forêt humide, mieux vaut privilégier l’adhérence sur terrain gras. Bref, pense au terrain que tu foules le plus souvent. Question simple : tu vas où courir, toi ?

2. L’amorti, mais pas trop

Un bon amorti protège les articulations, surtout si tu alignes les kilomètres. Mais attention : trop d’amorti = moins de sensations = risque de poser le pied n’importe comment. L’équilibre est fin. Pour un ultra, un amorti généreux, ça se comprend. Pour des sorties de 10 km en sous-bois, un modèle plus léger et réactif, c’est top.

3. Le maintien du pied

Franchement, c’est LE point où beaucoup se plantent. En trail, ton pied bouge dans tous les sens. Si ta chaussure est trop large, ça flotte, et bonjour les ampoules. Si elle est trop serrée, tu finis avec les orteils en compote dans les descentes. Perso, je conseille d’essayer en fin de journée, quand le pied est un peu gonflé, pour être sûr que ça passe.

4. Le poids et la respirabilité

Tu verras vite la différence entre une chaussure de 250 g et une de 350 g quand tu attaques un dénivelé. Plus c’est léger, plus tu gagnes en vitesse, mais parfois au détriment de la solidité. Et n’oublie pas : un mesh respirant, c’est vital si tu ne veux pas transformer ta chaussure en aquarium au bout de 30 minutes sous la pluie.

5. L’essai, la règle d’or

Ça paraît bête, mais la meilleure façon de choisir, c’est de tester. Mets la paire, fais quelques foulées, saute un peu. Sens si ton pied est calé, si la semelle accroche. Et surtout, ne pars jamais direct sur une sortie longue avec une paire neuve. Deux ou trois petites sorties de rodage, sinon… ampoules garanties.

Conclusion

Choisir ses chaussures de trail, ce n’est pas une question de look ou de promo, c’est une question de santé et de plaisir. Le bon modèle, c’est celui qui colle à TON terrain, TES distances, TON pied. Alors prends le temps, essaye, compare, et franchement, n’écoute pas juste le copain qui te dit « prends celles-là, elles sont géniales ». Peut-être pour lui, mais pas forcément pour toi.

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Chaussures de running 2025 : comment choisir le modèle vraiment adapté à ton profil http://www.gassattack.com/chaussures-de-running-2025-comment-choisir-le-modele-vraiment-adapte-a-ton-profil/ http://www.gassattack.com/chaussures-de-running-2025-comment-choisir-le-modele-vraiment-adapte-a-ton-profil/#respond Mon, 01 Sep 2025 16:55:34 +0000 http://www.gassattack.com/chaussures-de-running-2025-comment-choisir-le-modele-vraiment-adapte-a-ton-profil/ Chaque année, c’est la même galère : les marques sortent des dizaines de nouvelles chaussures de running, et toi tu te retrouves à hésiter entre 15 modèles différents. Plaques carbone, amorti maximaliste, chaussures légères comme des plumes… on ne sait plus où donner de la tête. Franchement, en 2025, l’offre est énorme. Mais bonne nouvelle : il existe quelques critères simples pour trouver la paire qui colle à ton profil, sans te perdre dans les discours marketing.

Perso, avant de craquer sur un modèle, je jette toujours un œil à des sites spécialisés comme https://www.athletejp.com, parce que ça permet de comparer les nouveautés avec des infos concrètes, pas juste les slogans des marques. Et crois-moi, ça évite bien des déceptions quand tu réalises que tes chaussures “révolutionnaires” sont en fait des enclumes pour ton type de foulée.

1. Ton type de foulée, la base

Neuf fois sur dix, on néglige ça. Tu poses le pied plutôt sur l’avant, tu as tendance à proner (pied qui part vers l’intérieur), ou au contraire à supiner ? Ça change tout. Une chaussure de running peut être parfaite pour ton pote, mais catastrophique pour toi. Si tu n’as jamais fait de test de foulée, passe par un magasin spécialisé. Oui, ça prend 20 minutes, mais ça peut t’éviter des douleurs chroniques aux genoux. Et courir avec des douleurs, on sait tous que ça finit par te dégoûter.

2. Ton objectif en 2025

Tu prépares un marathon, tu cours pour garder la forme, ou tu veux exploser ton record sur 10 km ? Là aussi, le choix ne sera pas le même. Pour l’endurance, je conseille des modèles avec un amorti généreux (les nouvelles Nike Invincible ou les Asics Gel Nimbus 26, par exemple). Si ton kiff c’est la vitesse, tu peux te tourner vers des chaussures à plaque carbone… mais attention, elles ne sont pas confortables pour tout le monde. Et elles coûtent un bras, soyons honnêtes.

3. Le terrain où tu cours

Bitume en ville, pistes en stabilisé, sentiers forestiers ? C’est peut-être le critère le plus sous-estimé. Une chaussure route utilisée en trail, c’est comme prendre une Ferrari pour rouler sur un chemin de terre. Tu vas glisser, te fatiguer et probablement ruiner la paire en deux sorties. En 2025, les marques proposent de plus en plus de modèles hybrides (route + chemins faciles), ça peut être un bon compromis si tu alternes les surfaces.

4. Le confort avant tout

C’est hyper subjectif, mais je t’assure qu’une chaussure inconfortable, tu le sens dès les 2-3 premières sorties. Perso, je me fie beaucoup au “fit” : est-ce que le mesh respire bien ? Est-ce que ton pied ne bouge pas à l’intérieur ? Tu dois avoir un léger espace à l’avant (sinon gare aux ongles noirs après une descente). N’hésite pas à essayer plusieurs modèles en magasin, même si tu commandes en ligne après. On parle d’un équipement que tu vas utiliser 2 à 4 fois par semaine, ça vaut le coup de tester.

5. Le budget : ça pique parfois

En 2025, les prix ont clairement grimpé. Les chaussures carbone flirtent souvent avec les 250-300 €, tandis que les modèles plus classiques tournent autour de 130-160 €. Mon conseil : si tu débutes ou que tu cours 1 à 2 fois par semaine, inutile de mettre une fortune. Les modèles “milieu de gamme” font parfaitement le taf. Garde les gros investissements pour quand tu es sûr que tu vas vraiment en profiter.

En résumé

Choisir sa chaussure de running en 2025, c’est pas une question de mode, c’est une question de profil. Regarde ta foulée, ton objectif, ton terrain de jeu et ton budget. Et surtout, écoute tes sensations. Parce qu’au final, c’est toi qui vas courir dedans, pas la pub Instagram que tu as vue hier soir.

Alors, prêt à trouver ta paire parfaite ? Et toi, tu cours plutôt sur du bitume ou du sentier ?

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Compléments naturels ou boosters chimiques : que disent vraiment les études ? http://www.gassattack.com/complements-naturels-ou-boosters-chimiques-que-disent-vraiment-les-etudes/ http://www.gassattack.com/complements-naturels-ou-boosters-chimiques-que-disent-vraiment-les-etudes/#respond Sat, 12 Jul 2025 09:09:21 +0000 http://www.gassattack.com/complements-naturels-ou-boosters-chimiques-que-disent-vraiment-les-etudes/ On en parle partout… mais qui croire ?

Si tu pratiques un peu sérieusement – que ce soit en muscu, en trail, en crossfit ou en judo – t’as forcément entendu parler des compléments alimentaires. Et à côté, y’a les fameux boosters, souvent « chimiques », vendus comme des potions magiques. Franchement, on s’y perd vite.

Perso, j’ai commencé par des protéines végétales quand j’étais en prépa physique pour un semi à Annecy (belle course d’ailleurs, si t’aimes les relances). Et puis un jour, un pote me tend un booster pré-workout, genre truc qui te fait vibrer le crâne. Là j’me suis dit : attends, c’est quoi ce délire ? Alors j’ai creusé. Et spoiler : les études sont loin d’être unanimes.

Si tu veux un premier aperçu sérieux des effets analysés en labo, t’as des ressources assez fiables comme https://www.msport.net. C’est clair, sans flou marketing.

Compléments naturels : ce que disent (vraiment) les études

Commençons soft : les compléments dits « naturels ». On parle ici de whey, de créatine, de BCAA, parfois de plantes comme le ginseng ou la rhodiola.

Et franchement, surprise : la créatine, que beaucoup diabolisent, est en fait l’un des compléments les plus étudiés et validés. Pas juste sur des mecs en salle, hein. Même en médecine, on l’utilise pour des patients souffrant de pertes musculaires. D’après une méta-analyse de 2022 publiée dans le *Journal of the International Society of Sports Nutrition*, la créatine améliore significativement la force max, surtout sur les efforts courts. C’est pas de la magie, c’est de la chimie bien documentée.

En revanche, sur les plantes type ginseng ou tribulus, les résultats sont beaucoup plus flous. Une étude t’en montre des bienfaits sur l’énergie ou la libido, l’autre te dit « effet placebo possible ». Autant dire que si t’en prends, c’est plus par croyance que par preuve béton.

Boosters chimiques : efficace, mais à quel prix ?

Alors là, on entre dans le dur. Les boosters chimiques, ce sont ces mélanges survitaminés, souvent blindés de caféine, de bêta-alanine, d’arginine, de niacine… Avec des noms bien agressifs genre « Nuke-X », « Rage 3000 », tu vois le genre.

Effets immédiats ? Clairement ouais. T’as une montée d’énergie, le cœur qui cogne, les veines qui gonflent. C’est flagrant, surtout si t’es en salle. Mais à long terme ? C’est là que ça se complique.

Une étude de 2021 menée par des chercheurs allemands a testé plusieurs boosters très populaires sur le marché européen : résultat, des effets positifs sur la concentration et l’endurance à court terme, mais aussi des risques de tachycardie, d’hypertension et de troubles du sommeil dès qu’on dépasse certaines doses. Et attention, ces doses sont faciles à franchir, surtout si tu combines avec un café ou une boisson énergisante.

Sans parler des ingrédients pas toujours listés clairement sur l’étiquette (surtout dans les produits importés). Tu te rappelles du DMAA ? Ce stimulant interdit depuis plusieurs années en Europe. Il traîne encore dans certains produits vendus en ligne…

Alors, on prend quoi au final ?

Franchement, y’a pas de réponse unique. Ça dépend de toi, de tes objectifs, et surtout de ta régularité.

Si t’es en reprise ou que tu veux jouer la carte long terme sans prise de tête, les compléments naturels bien choisis (créatine, oméga-3, protéines) suffisent largement. Y’a pas de miracle, mais c’est safe, bien documenté, et efficace avec le bon training.

En revanche, si tu cherches un coup de fouet ponctuel – pour une compet, un test physique, un bloc d’entraînement très lourd – un booster peut faire le job. Mais choisis-le bien, vérifie les dosages, et surtout, **n’en fais pas une habitude**. Ton corps s’habitue vite, et les effets secondaires te rappelleront à l’ordre.

Conclusion : l’équilibre avant la perf

Les études le montrent : on peut progresser sans booster. Et les compléments naturels, s’ils sont bien choisis, peuvent clairement t’aider. Mais attention à pas tomber dans le piège du shortcut. Rien ne remplacera un bon programme, de la régularité, du sommeil, et une vraie stratégie d’alimentation.

Et toi, t’en prends ? T’as senti une vraie différence ou c’était juste un effet “wahou” passager ? Viens en parler, c’est un vrai sujet qui mérite plus que des slogans flashy.

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Faut-il vraiment s’étirer après le sport ? Ce que dit la science en 2025 http://www.gassattack.com/faut-il-vraiment-setirer-apres-le-sport-ce-que-dit-la-science-en-2025/ http://www.gassattack.com/faut-il-vraiment-setirer-apres-le-sport-ce-que-dit-la-science-en-2025/#respond Tue, 03 Jun 2025 09:46:19 +0000 http://www.gassattack.com/faut-il-vraiment-setirer-apres-le-sport-ce-que-dit-la-science-en-2025/ On s’étire par réflexe… mais est-ce vraiment utile ?

Franchement, qui ne l’a jamais fait ? La séance terminée, on se cale au sol, une jambe tendue, l’autre pliée, et on force un peu sur le mollet ou les ischios. Parce qu’on nous a toujours dit que *“s’étirer après le sport, c’est bon pour éviter les courbatures”*. Mais en 2025, est-ce que la science confirme vraiment ça ? Ou est-ce qu’on s’accroche à une idée reçue façon mythe tenace des vestiaires ?

Spoiler : la réponse n’est pas aussi simple qu’un “oui” ou un “non”.

Courbatures : non, les étirements ne les empêchent pas

Commençons par *LE* truc que tout le monde croit. Non, les étirements post-entraînement **ne préviennent pas les courbatures**. C’est prouvé, reprouvé, revalidé : plusieurs méta-analyses (dont une très sérieuse publiée en 2023 dans le *Journal of Strength and Conditioning Research*) montrent qu’il n’y a **aucune différence significative** entre les gens qui s’étirent juste après le sport et ceux qui ne le font pas.

En gros : tu peux étirer tes quadris pendant 10 minutes après ton 10 km, ça ne changera rien aux jambes en béton que tu vas te coltiner le lendemain. Douloureux, mais vrai.

Mais alors… à quoi ça sert, les étirements ?

Ça dépend de *quand* et *comment* tu t’étires. Et aussi de ce que tu cherches à obtenir.

Après le sport, le principal intérêt, c’est la **relaxation musculaire**. Si t’as enchaîné des sprints, une séance de muscu bien lourde, ou un match intense, prendre 5 à 10 minutes pour respirer, t’étirer doucement et faire redescendre le rythme peut faire du bien. Pas sur le papier : dans le corps. *Tu sens tes muscles qui “se déposent”*. Et parfois, c’est tout ce qu’on cherche.

Alors oui, les étirements passifs peuvent **favoriser un retour au calme**, voire aider à dormir un peu mieux si tu t’entraînes le soir. Mais ce n’est pas une obligation, ni une recette miracle.

Et sur la souplesse, ça joue ou pas ?

Là, oui. Mais pas comme tu le crois.

Faire des étirements occasionnellement après le sport n’a **aucun impact durable** sur la mobilité. C’est comme faire un gainage une fois tous les 10 jours : pas inutile, mais pas transformant non plus.

Pour **vraiment gagner en souplesse**, il faut intégrer les étirements dans une routine à part entière, avec progressivité, fréquence et des postures tenues un certain temps. En clair : **il faut bosser sa mobilité comme on bosse sa force ou son cardio**. Sinon, tu restes au point mort.

OK, mais est-ce que ça peut être mauvais ?

Pas mauvais, mais mal utilisé, oui.

S’étirer juste après une séance très intense (notamment en force ou en explosivité) peut parfois accentuer la fatigue musculaire. Il y a même eu des études (comme celle de Behm & Chaouachi, revue 2024) qui montrent qu’un étirement trop poussé juste après un effort peut **altérer temporairement la performance musculaire**. Donc si t’as une compète le lendemain, mollo sur les grands écarts.

Et autre point : certains sportifs compensent des déséquilibres ou douleurs chroniques avec des étirements mal ciblés, alors qu’il faudrait plutôt bosser la posture, la stabilité ou la force. Là, on part dans une mauvaise direction.

Alors, je m’étire ou pas ?

La vraie question, c’est : **pourquoi tu veux t’étirer ?**

– Pour éviter les courbatures ? Oublie, ça ne marche pas.
– Pour te détendre après la séance ? Vas-y, fonce. Si ça te fait du bien, c’est déjà une bonne raison.
– Pour devenir plus souple ? Parfait, mais construis une routine dédiée, avec des exercices progressifs et réguliers.

*Perso*, je m’étire après mes séances longues en course à pied. Pas parce que je crois que ça va changer mon corps du jour au lendemain. Juste parce que ça m’apaise. Et parfois, c’est largement suffisant.

Ce qu’on peut retenir (sans se tordre les ischios)

Faut-il s’étirer après le sport ? La réponse, c’est : *ça dépend de ton objectif*.

Ce que disent les études en 2025 :

  • Les étirements ne préviennent pas les courbatures
  • Ils n’accélèrent pas la récupération musculaire
  • Ils peuvent aider à se relaxer, si c’est fait en douceur
  • Ils n’améliorent la souplesse que s’ils sont pratiqués régulièrement et intelligemment

En bref : étire-toi si tu aimes ça, si ça te fait du bien, ou si t’as un vrai plan pour bosser ta mobilité. Mais ne le fais pas juste par réflexe ou parce qu’on t’a toujours dit que “c’est comme ça qu’on fait”.

Alors, t’es team étirement post-séance ou pas du tout ?

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